Adonis Diaries

Archive for April 5th, 2017

What the orientation of the streets in Paris do tell us of its history?

La géométrie de la capitale nous raconte les principaux épisodes de son développement

Ceci est une carte visant à révéler l’orientation des rues de Paris. Si elle paraît sophistiquée, sa matière première n’en est pas moins sommaire: les tracés de voies du projet OpenStreetMap.

La couleur d’une rue dépend de son angle sur une échelle de 0 à 90°: deux teintes ont été utilisées, jaune-orangé et magenta, et elles sont d’autant plus claires que l’on se rapproche de l’axe méridien (Nord-Sud) ou parallèle (Est-Ouest).

Cet éventail de couleur est organisé de façon à ce que deux rues perpendiculaires aient la même couleur et à ce qu’une rue qui «perturbe» un quartier bien ordonné ait une couleur différente.

Certaines formes sur la carte, par le jeu des couleurs et des juxtapositions, ont éveillé ma curiosité. Simple géomaticien, peu rompu à l’histoire et à l’urbanisme, je me suis réduit à détailler le procédé de fabrication de la carte sur mon blog.

Plus tard, je me suis lancé dans un travail d’investigation afin de tenter de la comprendre.

De manière générale, Paris s’est développée par à-coups.

Ses différentes enceintes en sont la trace. Un réseau de rues peut se développer progressivement à partir d’un axe de circulation en de multiples ramifications, tel les nervures d’une feuille. Il peut aussi être bousculé par des évènements politiques, historiques.

<a href="https://www.flickr.com/photos/10519370@N04/15654896891/">Voir la carte en grand.</a>

1.La carte, regardée de loin

Convergence

À l’instar d’un tableau, une carte dévoile des choses différentes selon la distance à laquelle on la regarde. Voyons ce que nous réserve une vision globale de la carte.

Cliquez pour agrandir la carte. Source: Bibliothèque en ligne Gallica

Par son jeu de lignes, l’ossature de Paris nous rappelle constamment à son berceau, l’île de la Cité.

Cette île vit la naissance de Lutèce, en 52 av. J.C., après la victoire de Jules César sur Vercingétorix. À mesure que l’on s’en éloigne, les voies semblent régies par d’autres polarités. Le déplacement dans l’espace suit celui du temps.

Parallèles

Les rues épousent souvent des parallèles aux voies navigables: la Seine et ses canaux. Ces derniers ont constitué une épine dorsale à partir de laquelle s’est développée la ville.

L’historien du XVIIIe siècle Jules Michelet qualifiait d’ailleurs la Seine de «grande rue»: ses rives accueillaient, jusqu’au XIXe siècle, moulins, abattoirs, tanneries, établissements de bains, blanchisseries, pompes à eau, activités de pêche.

Jusqu’à l’arrivée du chemin de fer, les deux tiers environ de l’approvisionnement de Paris arrivaient par la Seine.

Cardo Maximus

A l’intérieur de l’enceinte Charles V (XIVe siècle) et de l’enceinte de Philippe-Auguste (XIIIe siècle), dont les périmètres figurent sur l’image ci-dessous, le réseau de rues est largement perpendiculaire.

Cliquez pour agrandir.

Lutèce était construite autour du Cardo Maximus, l’actuelle rue Saint-Jacques de l’île de la Cité, selon un plan quadrillé typique des villes neuves coloniales. Paris s’est souvent reconstruite sur elle-même, conservant en son centre ce schéma romain.

2.Quand on parcourt la carte latéralement

Perspective

Nous discernons sur la carte un axe Est-Ouest.

Cliquez pour agrandir

Préfiguré par l’avenue Victoria, cet axe ne cessera de s’étendre à partir du XVIIIe siècle. Il lie aujourd’hui l’avenue des Champs-Élysées, la rue Saint-Honoré, la rue de Rivoli et la rue du Faubourg Saint-Antoine.

Les hauts lieux de pouvoir et de culture, le Louvre, le Palais Royal, sont mis en scène de façon magistrale par cette perspective monumentale.

Dichotomie

Voir sur le GéoPortail (OpenStreetMap + Carte État-Major 1820 + Carte Topo 1906 + Photos Aériennes)

Les voies à l’Ouest forment des figures plus alambiquées qu’à l’Est. À partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle, l’Ouest est le lieu d’opérations de prestige, prestige que reflètent des places rayonnantes, telles celle de l’Etoile, où se rejoignent pas moins de douze avenues. L’Est, lui, se spécialise dans les activités industrielles et artisanales.

3.Percées

L’avenue de l’Opéra

Sur la carte, des rues se superposent à un réseau préexistant.

Auparavant, les quartiers se développaient en faubourgs le long d’axes de circulation.

Sous Napoléon III, au XIXe siècle, Georges Eugène Haussmann aura pour mission d’assainir et d’embellir la ville. C’est ainsi qu’il détruira, rebâtira sans compter, afin de tracer des voies larges, salubres et somptueuses. On lui doit en grande partie le visage actuel de la capitale.

Boulevard Magenta

Comparaison carte et OpenStreetMap. Voir sur le GéoPortail

La gare de Lyon date de 1855 et celle de l’Est de 1865. Le boulevard Magenta est une traversée importante qui permettra de les relier, ainsi que la place de la République et les boulevards «extérieurs».

Boulevard Raspail

Voir sur le GéoPortail

Le percement du Boulevard Raspail, décidé en 1866, s’étalera sur plus de 40 ans et se fera par tronçons.

Avenue de l’Opéra

Voir sur le GéoPortail

L’Opéra Garnier a été inauguré en 1875. Le percement de l’avenue de l’Opéra, en plus d’offrir un cadre grandiose à ce dernier, connecte le Louvre à la gare Saint-Lazare. Ce chantier prendra dix ans, de 1864 à son année d’inauguration. Il entraînera la destruction d’un quartier ancien, populaire et dégradé.

4.Singularités

Sur la carte, on peut s’étonner de la présence d’îlots de couleur différentes, indiquant un développement a priori singulier.

Un lotissement: le village Orléans

Dans le XIVe arrondissement, la carte comporte une petite tache.

Cliquer pour voir en grand.

À partir de 1820 commencent des opérations de logement très importantes en périphérie de Paris, en réponse à une pression démographique importante. 1830 verra celle du lotissement du village Orléans, visible ci-dessus.

Comme il est possible de le voir sur la carte d’État-Major (1820-1866), le quartier comportait deux rues, qui ont subsisté ajourd’hui: les rues Hallé et Couedic. Le bâti ne suivait pas leur axe mais celui des deux rues environnantes. Désormais, les immeubles suivent l’orientation des deux rues précitées, comme l’indiquent la carte de 1906 et celle d’OpenStreetMap.

Montmartre

Une «anomalie» apparaît au nord de Paris.

CC BY-SA 2.5 par Sam67fr

Il s’agit de la butte Montmartre. L’orientation Nord-Sud de la montée qui mène à la Basilique du Sacré Coeur, édifiée en 1875, et celle de son réseau d’allées, correspond à celle du monument.

Les édifices religieux suivent généralement une orientation Est-Ouest, mais Pie V dira qu’il importe davantage que la façade de l’église soit bien orientée par rapport à la ville.

La basilique offre un promontoire idéal duquel admirer Paris. Réciproquement, son orientation lui permet d’être admirée de face depuis de nombreux endroits de la capitale.

Square du serment de Koufra

En suivant la ceinture verte, on aboutit, vers la porte d’Orléans, à un square dont les allées tracent des obliques.

Photographie Aérienne Géoportail IGN © sur fonds OpenStreetMap MapQuest. Voir sur le GéoPortail

Il s’agit du square du serment de Koufra, créé en 1930. Le général Leclerc prêta ce serment à l’issue de la bataille de Koufra, en 1941. L’emplacement du square est symbolique car c’est par la Porte d’Orléans que ce même général entra le premier à Paris avec les unités alliées. Le parc, en faisant face à la place d’Orléans, rappelle ce moment historique.

5.Renouveau

Parc de Bercy

Voir sur le GéoPortail

Voies d’OpenStreetMap superimposées à une photographie aérienne de 1929 issue du Géoportail IGN ©

Une forme circulaire est de nature à intriguer quelqu’un d’étranger à Paris. Il s’agit du Parc de Bercy et de son dôme.

Ce parc a été réalisé dans les années 90 et son emprise reprend à peu près celle des jardins des demeures du petit château à la propriété des frères Paris. La carte topo IGN de 1906 indique des magasins généraux à cet endroit. Cette prise de vue aérienne de l’IGN de 1929, à laquelle j’ai superposé les données actuelles OpenStreetMap, atteste également de la présence d’entrepôts.

Bassin de La Villette

Voir sur le GéoPortail

Une forme blanche, évoquant un bateau, apparaît dans le quartier de la Villette.

La treemap du MOS indique là une zone d’équipements en 1980 et une zone d’activités en 2000. En allant sur Google Street View, on peut deviner qu’il s’agit là d’entrepôts reconvertis en bureaux.

Le canal Saint-Denis accueillait jadis des activités de fret. Ce secteur est emblématique de la transformation qui a vu, le long des canaux, la disparition progressive des ateliers, usines et entrepôts au profit d’activités de services.

Une fresque trouvée au hasard d’une promenade dans le quartier témoigne effectivement du passé industrieux des bâtiments considérés.

Levallois-Perret

Voir sur le GéoPortail

Dans le sillage de Paris, à Levallois-Perret, on repère des rues bien ordonnées. La commune, classée dixième au niveau de la densité de population, augure d’une nouvelle vision de l’urbanisme. Elle absorbe ses habitants au sein d’un tamis régulier. La fiche communale du MOS nous informe qu’un peu plus de 80% de la surface de la commune est occupée par des espaces construits artificialisés.

Dans la recherche, un bagage scientifique mène à toutes sortes d’expériences. Dans mon cas, l’expérience scientifique, à savoir la conception de cette carte, a amené un travail d’investigation au cours duquel je parcourais l’espace cartographique en même temps que la Toile.

Cet article, bien plus que de vouloir affirmer quelque chose, a pour but d’illustrer que chacun peut mener son enquête à son niveau, grâce aux logiciels et données libres disponibles sur le web.

Ainsi, vous aurez peut-être pu prendre connaissance grâce à lui d’outils géographiques très utiles tels que le GéoPortail, OpenStreetMap ou le MOS île-de-France.

Notes and comments or FB and Twitter Part 23

La mére: Il croit que je n’ai personne pour me defendre, qu’on peut m’humilier impunement. Comme il se trompe. Va mon enfant, va lui donner une paire de gifles. Et on a commencé a me considerer le voyou du quartier.
Chaque fois qu’une femme vous prend dans ses bras, ce ne sont plus que condoleances. On revient gueuler sur la tombe de sa mére, comme un chien abandonné. Helas, j’aurais aimer avoir ces sensations.
Saudi Kingdom Wahhabi sect share common denominator with Orthodox Jews: Heap all sins, and blame all catastrophes on women. Lock them up

Russia to deploy 400 police forces to monitor East Aleppo. Question: are they trained to behave according to Human rights law?

Stupid Ertogan: He viewed Aleppo as the main Turkish competitor in industry. He annihilated both industries for decades.

Okay. When next UN resolution for dismantling all settlements in Palestine?

There are No haphazard settlements in Israel. And this is Not a point of view

The only factor that prevent a UN resolution from being emptied of its contents is by steadfastly developing internal cohesion and unity in the nation

If astrophysicists can say: “We know nothing about Black Matters. But we know it Exist”. then I am entitled to forward a few hypotheses on that matter

Main function of any brain in living species is to Sense his limitations. Mankind made it his purpose to sanction this primal sense for survival. So much unnecessary pain, suffering and frustrations.

We used to note quick thoughts and feelings on diary booklets. No need to take it hard on notes displayed on social media: They are supposed Not to be shared.

Information overload: every accident happening in Europe or USA has to be declared and assured “Not terrorist related”

The Madoff Ponzi scheme made rich the early “investors” at 10% return rate (double any rate they could hope of) and they lead the fancy life at the expense of the late comers who joined the band wagon of greed. Those who re-invested, thinking of the future, lost their life saving. A big fish in a much bigger species of Ponzi multinational financial companies from all over the world.

Mafia and intelligence services are adopting the terror methods in order to eliminate specific persons under the cover of what looks like a Daesh terrorist. Istambul horror can be categorized under a mafia contract. An institution in the government is in cohort with this activity. The killers will never be caught: they have been disposed of.

The Turkish officials are Not making any sense. They claim the terrorist came from Syria, though they caught no one yet. They claim there was 10 guards outside and 20 inside, and yet, the killer took all his time, over 30 minutes, to reload 6 times and clean his weapon too. Can we get the complete list of the dead people in order to figure out who were the competitors? 

The Street Kid: one look is good enough to discriminate the sheep from the lion: he has got to grow or perish

Invariably, adventure find you when you are young. Otherwise, you have got to select among the adventure you are ready to undertake.

Solutions to our problems delay the growth of our lofty spirit

One day, the world that I knew would be regarded as a vulgar nightmare: the world of my dreams will take over.

Escaping the Education Matrix? And who is Steve Hargadon?

State of cognitive dissonance?

What are most kids getting out of 12 years of school?

“How do you tell a story that opens the door to rethinking what people have believed for decades?”

Luba Vangelova posted in   this January 8, 2014

Steve Hargadon: Escaping the Education Matrix

“We tell a story about the power of learning that is very different from what we practice in traditional models of school,” says Steve Hargadon, education technology entrepreneur, event organizer, and host of the long-running Future of Education podcast series.

If we really want children to grow up to become self-reliant and reach their full potential, “we would be doing something very different in schools. We live in a state of cognitive dissonance.”

His comments are informed by a recent cross-country tour facilitating community discussions on education, as well as more than 400 interviews he’s logged with a broad spectrum of education practitioners, analysts, and innovators.

What are most kids getting out of 12 years of school?” he asks.

“The honest answer is they’re learning how to follow, and that was the original intent.

Public schools were based on the belief that what was needed was a small group of elites who would make the decisions for the country, and many more who would simply follow their directions” — hence a system that produces “tremendous intellectual and commercial dependency.”

And the notion that the smartest students rise to the top, regardless of family and social circumstances, “sends a message to the majority of students that they are losers,” Hargadon notes, which doesn’t square with a professed belief in the inherent value and capacity of every child.

“How do you tell a story that opens the door to rethinking what people have believed for decades?”

The system’s fundamental design also leads to a host of unintended consequences, including bullying.

“We’re placing kids in an artificial environment,” he says, “telling most of them they’re not good at things, and then expecting them not to explode at each other? Of course they will. The ‘mean girls’ thing is not a natural part of childhood—it’s more a reflection of how kids are being treated than a reflection of kids. It’s shocking that we put up with it.”

The reason so many adults find the situation tolerable, he says, may stem from the fact that they experience little control over their own lives.

Additionally, they themselves are products of the system and, as such, find it difficult to envision an alternative.

“People are almost in this Matrix-like existence,” Hargadon says. “They don’t question schooling. How do you tell a story that opens the door to rethinking what people have believed for decades? So much in their lives depends on that story being what they think it is.

How do you tell a new story that involves people reclaiming their destinies, children not being defective, and learning not being owned by one organization?”

There are also vested interests in the status quo.

“The people who benefit from us not being active citizens, from all buying the same things, and being willing to take jobs that demand we leave our personal values at the door—they all benefit from the current schooling system, because it produces a populace that does not feel confident in being critical,” he notes.

“At an institutional or personal level, those who benefit don’t have much incentive to promote changes in education that would lead people to question their motives or challenge their practices.”

To Drive Real Change, Focus on the Human Factors

An economic crisis (perhaps the one we’re already experiencing) may provide the financial imperative to overhaul the system, Hargadon says.

But something even more powerful may take precedence: He’s noticed “more and more resonance with the idea of having a moral imperative for education,” pointing to the growing backlash against high-stakes testing as one indication of a shift in thinking.

He sees a need for more people to “stand up and say: ‘This is not the right thing for children—it’s not a healthy childhood.’”

But families must also reclaim ownership of learning, rather than viewing it as the responsibility of schools and government, and also resist the tendency to make decisions for others.

“In some ways, traditional schools have co-opted a lot of traditional parental responsibilities,” he says. “That’s really unhealthy, and it becomes self-fulfilling. And when society says it knows better than the family, it’s a recipe for disaster. Some family circumstances are not ideal, but it’s a slippery slope.

It’s about trusting and respecting the capacity of individuals to make choices.”

Technology can support a transformation, but it’s not a silver bullet. The Internet has ushered in an era of “digital democracy” and increased people’s capacity to question the status quo. Widespread access to unlimited information has also opened many doors.

But “the process of becoming a self-directed, independent learner is a very human process,” Hargadon says. “Recognizing the different needs of every student, and the desire to help each one become personally competent as a learner and find productive things to do in life—that won’t happen online.”

The temptation to “solve all these problems with data” must also be tempered, he says. “Data does not define the core things in education, such as someone opening your eyes to something.” There’s a lesson to be learned from the world of business, he adds, where “the true value of the ‘total quality’ movement came not from tracking, but from involving workers themselves in using the data for self improvement.”

A Future Marked by Greater Freedom and Collaboration

For models of healthier ways to frame education, Hargadon suggests looking to food and libraries. “No one says that from age six to 17, we will give you all the same food, at the same time, regardless of your individual circumstances or needs,” he says. He envisions a world where families can similarly choose where, how, and what they learn.

What might that world look like? He considers libraries good examples of places that already facilitate such mandate-free learning. “The reason we have a hard time conceiving [an alternate reality],” he says, “is because we so strongly associate education with control.

If I ask you how you choose your own food, you’d probably say that it’s just what you do: Depending on your circumstances at the time, you may go to a farmer’s market or grocery store or restaurant or grow your own food. The difficulty is dismantling something that’s taken away our conception of having that kind of agency.

But when I imagine that world, it includes things like community college classes, apprenticeships at businesses, educational certification programs. You have a range of choices, depending on the child’s interests.”

Hargadon sees connecting people to each other as the most effective way to get from here to there, hence his recent tour. “The tour convinced me that policy changes are not the answer, and that change needs to come from us,” he says.

“As individuals, families and communities, we need to reclaim the conversation around learning, and to do so in such a way as to recognize the inherent worth and value of every student, with the ultimate goal of helping them become self-directed and agents of their own learning.”

Hargadon thinks one way change agents get tripped up is by promoting a particular model, rather than a process by which people can develop (or adopt) models that best fit their needs. He considers deep, meaningful conversations a useful starting point for people to use to shape the future, and to that end, he’s planning to host a series of national conversations in 2014 that probe the deeper questions around education and can serve as models for conversations people initiative in their own communities.

Living in a democracy means involving people in decision making,” Hargadon says. “You can’t just create a new system to implement top down; you have to provide the opportunity to talk about it and build it constructively.”

Luba Vangelova’s work has appeared in numerous print, online and broadcast media outlets, including The New York Times, Smithsonian and Salon.

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